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Interview du président de la zone 3 de la Confédération africaine de volleyball

Présent officiellement à Lomé, au nom de la Confédération africaine de volleyball (CAVB),   pour vivre le premier festival de beach-volley pour  jeunes joueurs, M Ali Yaro, président de la Fédération béninoise de volleyball ( FBVB) et président de la zone 3 de la CAVB a fait part de sa satisfaction. 

Interview : 

ALI YARO :   C’est un sentiment de satisfaction qui m’anime, à double titre ; d’abord, en tant que président de la Fédération Béninoise de Volleyball, c’est bien de venir partager les expériences avec la Fédération Togolaise.

Ce n’est pas évident dans nos pays que nous consacrions le beach-volley aux jeunes, les moins de 15 ans et 16 ans.

C’est déjà une expérience que nous devons copier et voir comment l’améliorer.

Ensuite, en tant que président de zone, j’étais en mission très officielle pour venir voir ce qui est fait, car la CAVB a initié un projet que nous appelons le projet DOVE, qui parle de l’apprentissage et de la pratique du volleyball pour les enfants, comment amener les enfants à découvrir la pratique du Beach-volleyball.

Après le premier séminaire que nous avons organisé, c’est ce que nous présentons à Lomé, et la Fédération a décidé de commencer par faire découvrir l’activité aux jeunes, mais aussi d’impliquer tous ceux qui ont participé au premier séminaire, et je suis sûr qu’une évaluation sera faite pour que les prochaines compétitions soient améliorées.

Toutes les fois que cela se fera sous cette forme, nous serons présents pour voir, apprécier et rendre compte.

QUESTION : Comment appréciez-vous les enfants ?

ALI YARO : La plupart, c’est la première fois qu’ils découvrent le sable, le beach-volley, et le volley indoor, ce sont deux choses différentes.

J’ai vu des enfants très enthousiastes qui prennent plaisir à être dans le sable, contrairement à la salle où ils ont peur de tomber.

C’est déjà bien qu’ils repartent avec un très bon sentiment. C’est la preuve qu’ils vont s’y intéresser.

J’ai espoir que dans une quinzaine d’années, quand nous serons en train de faire de grandes compétitions de beach-volleyball, nous pourrons faire le point pour dire qu’ils ont commencé aujourd’hui. »

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